Combien de fois je l’entends celle-là : « 50 ans, je suis rendu trop vieux pour jouer au hockey, mes jambes ne suivent plus. » Pourtant, je connais des gens de plus de 70 ans qui jouent encore au hockey l’hiver et à la balle molle l’été.  Oui effectivement, ils ont mal aux jambes après, mais ils continuent.  Je suis tout simplement en admiration devant ces personnes.

 

À 50 ans, est-ce ma place?

Un ami à moi a joué dans une ligue de 50 ans et plus l’autre jour. J’ai tenté de me mettre à sa place, car je sais que plusieurs se posent les mêmes questions : « Oh mon dieu, est-ce que je suis à ma place ? Est-ce que je vais être encore capable?  Ouf! faut pas que j’oublie de prendre mes pilules sinon je vais en arracher demain matin ! ».  

Bouger c’est important peu importe l’âge

Nous savons tous qu’être actif diminue les risques de toutes sortes de maladies.  On croit souvent à tord que notre seule possibilité après 50 ans est de s’abonner au gym et tenter de faire tranquillement du ti-vélo. Je dis ça avec humour bien sûr.   Le hockey, pour ceux qui aime pratiquer ce sport bien entendu, favorise le développement moteur chez les enfants de même que chez l’adulte.  Ce sport permet d’améliorer la coordination et l’équilibre. 

   Trop vieux?

Le hockey, un anti-stress ?

Disputer un match de hockey permet de se défouler, de se libérer de son stress, comme toutes les formes d’activités physique, je vous l’accorde.  La pratique du hockey sur glace entraîne la sécrétion de sérotonine et de dopamine. Hé bien oui! Les fameuses hormones du bonheur et ça, même si on a plus de 50 ans.

Trouver une ligue adapter à nous, les 50 ans et +

Qu’on ait 20 ans ou 50 ans, il nous suffit juste de trouver la bonne ligue où on va se sentir à l’aise de jouer et surtout, de le faire à notre rythme.  Le but de pratiquer ce sport est d’avoir du plaisir, il faut donc savoir respecter ses limites.  Avoir 50 ans n’est pas un crime, au contraire.  Je lève mon chapeau à ceux qui continue encore et toujours de jouer.  J’ai longtemps suivi mon père au hockey et je me souviens de ses coéquipiers, tout âge confondu.  Le sénior, je peux le nommer parce qu’il nous à quitter, est mon cher Pat. Malgré son âge, il continuait de jouer et m’impressionnait toujours, car il en déjouait plus d’un ! 

Donc à tous ceux qui se pose la question, « Est-ce que je suis rendu trop vieux ? », ma réponse est simple. Pas du tout ! 😉